Le phénomène éditorial de Maria Duenas traite de Tanger durant les années 1930 :
« El Tiempo entre costuras » adapté à la télévision espagnole
Composée de 11 épisodes, la série TV, du même nom, réalisée par la maison de production « Ida y Vuelta » pour le compte de la chaîne TV espagnole, a été tournée au Maroc durant l’été dernier, principalement dans les villes de Tanger et Tétouan pour nous faire revivre la vie d’une couturière à succès, qui quitte l’Espagne où la guerre civile s’apprête à éclater pour suivre son grand amour et qui se retrouve entraînée dans de louches affaires d’espionnage.
« C’est le type de fiction de qualité sur laquelle mise notre chaîne », confie Javier Bardaji, directeur général d' »Antena 3″, dans des déclarations à la presse lors du Festival de télévision et radio de Vitoria, début septembre.
Les premières séquences de cette production télévisuelle ont été d’ailleurs présentées lors de ce festival.
« J’imaginais dans ma tête comment devaient être les personnages de mon roman. Mais les voir reproduits dans cette série a été une expérience incroyable », assure Maria Duenas à l’issue de la projection en avant-première. Paru en 2009 aux éditions « Temas de Hoy », « El Tiempo entre costuras » s’est converti en une véritable « révolution littéraire » en Espagne, selon les critiques qui mettent en valeur le « magnifique talent littéraire » de son auteur qui a réussi à refaire vivre le Nord du Maroc du temps où il était sous protectorat espagnol.Pour l’auteur Maria Duenas, professeur de philologie anglaise à l’université de Murcie, reproduire ce Maroc était tout à fait naturel.
« Ce Maroc-là était la terre d’accueil de ma famille. Ma mère est née à Tétouan et y a vécu pendant 18 ans. Mon grand-père maternel a passé là-bas plus de trois décennies. Pour moi, il était totalement incompréhensible que personne ne puisse se rappeler de cette vie de laquelle je me sentais si proche. Pour cela j’ai décidé de ressusciter ce temps dans mon roman ».
Sur la difficulté rencontrée pour recréer dans sa fiction la vie quotidienne menée par les gens dans le Maroc sous protectorat espagnol, surtout que la présence espagnole au Maroc est un moment de l’Histoire quasi méconnu de la majorité des Espagnols, l’auteur confiera avoir compté en grande partie sur les souvenirs de nombreux anciens résidents espagnols dans le Nord du Maroc, parmi eux des membres de sa propre famille, sans oublier le recours à des documents historiques qui lui ont été d’une grande utilité. Traduit dans plus de 20 langues « El Tiempo entre costuras », le premier roman de Maria Duenas, est considéré comme un bestseller en Espagne après avoir réussi la gageure de vendre plus d’un million d’exemplaires.
PB
je voulais préciser que le livre de Maria Duenas « l’espionne de Tanger est également connu avec le titre « Le fil du Destin »
C’est un très beau roman qui m’a donnait des notions sur le protectorat marocain durant la guerre d’espagne
je voulais préciser que le livre de Maria Duenas « l’espionne de Tanger est également connu avec le titre « Le fil du Destin »
C’est un très beau roman qui m’a donnait des notions sur le protectorat marocain durant la guerre d’espagne
Muy inteesante , nos transmite muchas cosas de las lejanas decadas…
Muy inteesante , nos transmite muchas cosas de las lejanas decadas…
Après quelques brèves collaborations avec Neil
Christian and The Crusaders, Carter-Lewis and The Southerners, avesc le groupe de Mike
Hurst ett Mickey Finn and the Blue Men, aziatomik devient alors guitariste de studio à temps complet,
connu sous le surnom de Little Jim, pour éviter la confusion avcec Big Jim Sullivan, alias Big Jim.